aveerses Je respire qu'a prendre des meurs Dans vos ports je vois des choses en face Mais totu expire les permis, les coeurs Dans l'eau qui dort, remontes en surface, les
Indolore les murs, et coule dans le fleuve la facture En monnaie de singe, fraiche blanche comme le linge A jamais repand du fard sur les hommes comme
la vie s'organise autour de ca ce nouvel etat qu'on decolonise le temps coule, un goutte a goutte, un sablier de poix tout ride Mere natale Plaine fertile du Post Partum
Novembre Je rimaille les brindilles Les faire-parts, les marrons, les billes Les rangs et les mailles sur tes aiguilles Sans fin, les repas de famille
icones le jour du Seigneur Enghien, Silverstone tout un nuancier l'homme invisible et celui de vingt heures les chanteurs les cercueils, les cyclones le convertible les
Cent fois j'ai refait le tour du Dictionnaire Et tous ses fleuves descendu Suivi a la lettre ses rues de Caracteres Etroits, pavees de certitudes Et