'ai peche dans le desert une vie moins ordinaire prisonniere de mon sort et j'ai, j'ai survole dans les airs les dedales ou je me perds les pedales dans
le ciel Je pourrais compter sur toi, compter sur toi Alors je glissais comme les cailloux sur l'eau claire lances des bords des rivieres Je tombais comme les cailloux dans les
Ou est l'erreur, d'ou vient l'orage Nous humecter sans protection C'est l'aube, c'est l'heure d'atteindre l'age De suspecter les traditions Computer,
Novembre Je rimaille les brindilles Les faire-parts, les marrons, les billes Les rangs et les mailles sur tes aiguilles Sans fin, les repas de famille
J'ai longtemps perdu ta voix Forcement J'ai tellement reve t'avoir Dans les moments difficiles Le temps deforme les ondes Lentement Pour ne laisser qu
Et puis un soir elle fait ses valises celles que la vie a mise hors de toi elle roule epouse la route le chemin de la croix et la vie s'organise autour
Cent fois j'ai refait le tour du Dictionnaire Et tous ses fleuves descendu Suivi a la lettre ses rues de Caracteres Etroits, pavees de certitudes Et
Il y avait des oiseaux, des oiseaux Il y avait des oiseaux qui galopaient Il y avait des chevaux, des chevaux Il y avait des chevaux qui s?envolaient
Sans connaitre les raisons qui ont pousse cet homme a vivre dans une autre ville on l'estime comme quelqu'un de toujours poli qu'il soit heureux ou qu
me taire et tes larmes retenir dans cet autre Finistere aux longues plages de silence bien sur on se figure que le monde est mal fait que les jours nous
plomb et un seul bras c'est sur ce bout de ferraille que sa memoire deraille et quand il manque de temps quand il manque de place quand il manque les
sur, on aurait du peut-etre depuis longtemps se connaitre mais on les voyait larges, les beaux jours pour dompter nos inexistences a l'abri de l'impatience
je vais, charge d'affaires d'argent, de sentiments de crapules et d'amants mais, sur mon chemin, que faire ? peut-on se satisfaire de poursuivre toutes les
en d'autres temps sur des plages, endormis a regner sur des fourmis oh ! Louis, la sale vie, la sale vie, fuyons qui nous reclame a present ? les enfants
comme une toile ou toujours il se prend se casse les dents et passent les jours, les nuits cloue par l'ennui sur son lit de vide Maurice compte les rides
le jour du Seigneur Enghien, Silverstone tout un nuancier l'homme invisible et celui de vingt heures les chanteurs les cercueils, les cyclones le convertible les
du ciment sur la plage et malgre mes efforts j'ai mis un pied dehors et la pluie est tombee qui brillait sur les quais a serrer les dents nuit et jour
je comprends que tu veuilles attendre encore le monde est parfois si griffant qu'y jeter le fruit de son corps est une serieuse affaire aussi, laissons les