indifference, en dictons par milliers Heureux les imbeciles? et je suis le premier ! La nuit porte conseil Mais si l?on dort le jour ? D?ennui, prennent l?oseille Les
notre corp Ni haine ni regard Ni regrets ni remords Que l'on soit mort idiot Intelligent ou fort Plus une trace de vous Millionnaires ou sans sous Le blabla les
tu m'as quittee; donc t'es parti, et oui t'es partie pour refaire ta vie, ben oui ! refaire ta vie sans moi,tant pis eh, ben oui... tu m'as quitte alors
Quand le concert commence, j'ai le coeur qui balance C'est parti pour ce soir, t'accordes ta guitare On en a pour des heures... surement toute la nuit
'il aurait, bien quand meme, aimer croiser quelqu'un C'est sur depuis qu'les annees tracent Y'en a qui sont restes sur le bord du chemin Et c'est pas facile d'les
, je t'aime donc je te voile" C'est un pour sur : Ras le bol general De ceux qui, purs, infligent la morale De leur religion universelle Qui abaissent les
?ete. Les « Boum ! » qui font « Boum ! » Sur les roches et les galets, Sur les plages, les visages Et les paysages defaits Oh ! oh ! oh ! Poussent les frontieres Et battissent les
age, il n'attend plus grand chose que de mauvais presages dans cette vie morose. Un doigt plus haut que l'autre il n'entend plus les siens, les paroles
s'est mange sur sa moto Nous qui r'gardions toujours le bleu Celui qui traine sur les photos Quand on a cet air merveilleux Devant les pubs et les
J'ai voulu offrir une mandarine, a Amandine ma p'tite copine Elle m'a dit j'prefere les clementines , elle est partie chez Amine Amine le vendeur d'
C'est un little gentleman qui se promene sur tous les boulevards, de Paris ou de London, de toutes les capitales. Lasse d'sa super woman il fuit dans
combats... Qu'une femme vaut bien plus, en somme que les hommes qui se battent ici, la, et que leur chagrin pour les hommes me fait aimer les femmes
sent le retour d'un ami qu'etait parti chercher l'oubli d'une fille dont il etait morgane Ca sent les momes pleins les trottoirs qui jouent au foot les
(Instrumental)
, meme ne depassant un pied ou deux, decident l'avenir, les suicides ou les rires des gens des cieux. Servons nous l'un contre l'autre, serrons-nous et apotres, parcourant les
, arretez-moi tout de suite, venez-voir dans le palais qui orne ma suite, y'aura tous les clandestins, les zonards et les cousins, les matelots anarchistes et les
J'ai toujours su que tu partirai Et si je suis insupportable, mechant capricieux et medisant C'est que depuis l'age du cartable Je n'ai jamais pu supporter les