Jean-Francois aimait Julie Julie aimait Firmin Firmin aimait Marguerite Marguerite aimait Leon Leon aimait Sarah Sarah aimait Hippolyte C'est pas facile
Cette chansonnette Tourne dans ma tete Comme quand nous l'ecoutions tous les deux Je veux la recrire Afin de te dire Combien avec toi je fus heureux
Si mon grand-papa, quand il etait celibataire, N'avait pas su plaire a une jeune cremiere Oui, si grand-papa n'avait pas rencontre grand-mere Je n'
A Laroche-Saint-Cydoine Y a du monde, du monde bien Mais il ne reste qu'un ane Qui ne se porte pas bien On en cause et l'on s'inquiete Car si l'ane un
L'elephant, sans discours Prend l' garcon coiffeur de court En designant d'un clin d'?il Le fauteuil Badaboum ! L'est coince Le fauteuil est defonce
Le ciel se met en guerre, aussi con que les hommes Et, jaloux du canon, la-haut l'orage tonne La foule hurle "Haro !" sans trop savoir pourquoi Du coup
Un jour sans soleil et sans sexe Une tortue trouva un solex Elle s'approcha "A quoi sers-tu ?" Interrogea la tortue Le solex qu'etait enrhume Repondit
Si le ciel j'implore Ca n'est pas encore Que j'entends des voix C'est que je venere Le paratonnerre Perche sur le toit A le voir si digne Et si rectiligne
Chaque matin, sans vacarme L'agenda verse une larme Une larme egale un jour Ainsi s'en vont les amours A chaque feuille qui tombe Un nom de plus dans
Les poissons sont des droles de mecs Sans facon, ils se clouent le bec Sur un ver ou un asticot Les voila coinces illico ! Faut vraiment pas etre fute
orfevres Oh ! Ce souffle incessant Eclats multiplies Brillant mat de cocagne Il se saoule au Champagne S'il boit, le peuplier Compagnon de la nuit Compagne
Comme disent les anciens C'etait le bon temps, Faire partie des tiens C'etait important, Avec toi, les portes S'ouvraient a coup sur Maintenant y a
{Refrain:} Pourquoi me parler d'orchidees ? Diable ! Que vais-je ainsi penser ? Madame, en vous voyant passer Me viendraient plutot des idees Les orchidees
L'odeur du pain, ma bouche chante Le gout du vin, mon c?ur est pris Non, je ne sais rien qui m'enchante Comme un pique-nique a Paris Petales de fer qui
Il pleut Les nuages en avaient assez De voir les amants s'embrasser Tant de passion a pleine bouche Ils se sont fait hara-kiri Et tombent, les temps
S'il n'y avait ce rideau de cretonne Ce rideau blanc qui gache mon bonheur Mon horizon serait moins monotone A vous, Madame, je rendrais les honneurs
Qu'est-ce que j' fous dans mon armoire ? Trou d' memoire Comment suis-je arrive la ? Quel gala ! J'ai du, le diable m'emporte ! M' tromper d' porte C
Y aurait-il des soleils denses de douze mois Hiver ete menant la danse freres siamois ? Y aurait-il des saisons meme hors de saison Si tu n'etais toi