: Je ne sais pourquoi j'allais danser A Saint-Jean au musette, Mais quand un gars m'a pris un baiser, J'ai frissonne, j'etais chipee Comment ne pas perdre
: Menilmontant mais oui madame C'est la que j'ai laisse mon c?ur C'est la que je viens retrouver mon ame Toute ma flamme Tout mon bonheur... Quand je
: Ce soir le vent qui frappe a ma porte Me parle des amours mortes Devant le feu qui s' eteint Ce soir c'est une chanson d' automne Dans la maison qui
clips Elle vous eclips', Toutes les stars les plus reputees. Ah ! si vous connaissiez ma poule, Vous en perdriez tous la boule Marlene et Darrieux N'arrivent qu'en deux
: Vous qui passez sans me voir Sans meme me dire bonsoir Donnez-moi un peu d'espoir ce soir... J'ai tant de peine Vous, dont je guette un regard Pour
: Voici, contee sur une valse musette, L'histoire en quelques mots Du beau roman d'une jeune midinette Et d'un p'tit Parigot Tous les refrains d'amour
chanterons le temps des cerises Sifflera bien mieux le merle moqueur Mais il est bien court le temps des cerises Ou l'on s'en va deux cueillir en revant
: Le ciel est bas, morne, insipide. Et rien ne brille au firmament. Sur le boulevard, d'un pas rapide, Les gens passent indifferents. Et moi, je vais
ce qu'on attend pour faire la fete? Y'a des violettes Tant qu'on en veut Y'a des raisins, des rouges, des blancs, des bleus, Les papillons s'en vont par deux
: {Refrain:} Ou sont tous mes amants Tous ceux qui m'aimaient tant Jadis quand j'etais belle ? Adieu les infideles Ils sont je ne sais ou A d'autres
: En haut de la rue St-Vincent Un poete et une inconnue S'aimerent l'espace d'un instant Mais il ne l'a jamais revue Cette chanson il composa Esperant
: O mon Paris, ville ideale Qu?il faut quitter des ce soir. Adieu, ma belle capitale, Adieu, non, au revoir ! Paris, je t'aime, je t'aime, je t'
: Comme le tam-tam qui resonne Dans la jungle sombre, au lion Comme le tic-tac monotone Qui le temps marque le point Comme cette pluie obsedante Qui
Comme un insense {Refrain:} Ramona, j'ai fait un reve merveilleux Ramona, nous etions partis tous les deux Nous allions lentement Loin de tous les regards jaloux Et jamais deux
sans lui dire Mais un jour qu'un baiser les unit Dans le ciel elle crut lire Comme un espoir infini Apres des jours depourvus d'espoir Tous deux se sont
ensorcelle Et que l'on danse les yeux dans les yeux Au rythme joyeux Quand les corps se confondent Comme elle au monde Il n'y en a pas deux C'est la java
: Ils s'aimaient depuis deux jours a peine Y a parfois du bonheur dans la peine Mais depuis qu'ils etaient amoureux Leur destin n'etait plus malheureux
: {Refrain:} Parlez-moi d'amour Redites-moi des choses tendres Votre beau discours Mon c?ur n'est pas las de l'entendre Pourvu que toujours Vous repetiez