destins Suffit d'un rien, d'un geste de ses reins Et s'arrete la raison qui nous tiens. Commence alors une autre nuit sans fin Ou son corps de feu se
L'ete a passe Une eternite Les flots de l'innocence apaises Elle s'est endormie Moi j'ai un peu grandi Mais pas assez pour que j'oubli Fille d'un cygne
du matin Ou vont les mondes que je vois Quand les caresses font la loi Tu les reves a travers moi Ensemble doucement C'est la grace qui nous envoie Le bonheur a chaque
Je dormirai Je dormirai la Sous ces drapeaux qui marchent au dernier combat Pres de ta porte Le souffle si bas Que le diable nous emporte Je resterai
de moi autant qu'avant ? Si j'ai passe le temps de l'innocence J'ai garde les yeux grand-ouverts sous l'orage Je saurai dire au tiens le pur, d'un feu
Si le pays qui m'attire C'est l'air que je respire Si j'appelle ca chez moi Si je n'ai rien a batir Ni eglise a servir Si j'appelle ca chez toi J'ai
tu vois mourir les sirenes Passer tes annees lumieres Mourir les sirenes Ne cache pas ta peine Quand tu vois mourir les sirenes Passer tes annees lumieres Mourir les sirenes Quand tu vois
Et si Et si un jour venait Comme si sa se pouvait Doucement Plus devant L'un pour l'autre Et si Nos mains se delassait Si on se reveiller Lentement
Au bas d'une photo, une rime Un bouquet de lys blancs, tes signes Un petit flash, notre histoire Deux gouttes d'eau dans la riviere Qui se separent